Du code d’éthique au Guide des bonnes pratiques pour la préservation du lac Desmarais
Affiche : Résumé du Guide des bonnes pratiques et du Code nautique
Guide des bonnes pratiques pour la préservation du lac Desmarais
Introduction
Pour un grand nombre de riverains, le choix de vivre au bord d’un lac ou d’un cours d’eau est grandement motivé par le besoin de tranquillité et de se baigner dans un environnement sain. Fuyant le béton et l’air vicié des zones urbaines, les gens retrouvent en campagne des paysages naturels, une faune et une flore diversifiées et un calme inexistant en ville.
Cependant, force est de constater que, par méconnaissance ou inexpérience, les gens endommagent eux-mêmes cet environnement en y transposant leurs habitudes urbaines. L’aménagement des terrains, en ne tenant pas compte du milieu (dénaturalisation des rives, utilisation importante de produits polluants, techniques d’aménagement inadéquates, etc.), a pour effet de menacer dangereusement l’écosystème aquatique, créant de sérieux problèmes écologiques. De plus, cette insouciance, bien souvent involontaire, a aussi pour conséquence de faire perdre aux riverains ce qu’ils venaient justement chercher en campagne, c’est-à-dire la beauté et le calme de l’endroit.
L’association pour la préservation du lac Desmarais (APLD) présente un Guide des bonnes pratiques pour la préservation du lac Desmarais afin de mieux outiller les riverains quant à l’impact des gestes posés qui ont une influence sur le plan d’eau. Depuis 50 ans, les riverains du lac Desmarais ont su préserver la santé du lac, les différentes analyses de l’eau le prouvent d’année en année. Ce guide donc propose un engagement à tous les résidents du secteur du lac Desmarais, celui de respecter des pratiques qui visent à préserver la qualité de l’eau du lac et son environnement
Plusieurs encadrements (règlements, pratiques reconnues) existent déjà pour préserver l’environnement et la qualité du lac. C’est pourquoi, les règlements municipaux de Saint-Denis-de-Brompton, le règlement de pêche basé sur celui du Québec, le Code nautique pour la préservation du lac Desmarais, les recommandations pour les bandes riveraines et les installations septiques ont été regroupés dans un seul document : le Guide des bonnes pratiques pour la préservation du lac Desmarais.
Règlements municipaux (Municipalité de Saint-Denis-de-Brompton)
Extraits des règlements municipaux concernant les animaux, bande riveraine, arbres, engrais, herbicides, etc.
Règlement de pêche du lac Desmarais
- Tout pêcheur doit posséder un permis de pêche valide émis par le ministère Forêts, Faune et Parcs du Québec (MFFP) et respecter les quotas et règles du MFFP.
- Les pêcheurs résidents devraient être membres en règle de l’Association pour la préservation du lac Desmarais (APLD).
- La carte de membre de l’APLD (membre en règle) est obligatoire. Chaque propriétaire ou locataire qui pratique la pêche sur le lac Desmarais doit exhiber en tout temps sa carte de membre à la demande d’un représentant de l’exécutif de l’APLD.
Consultez tous les règlements de pêche au lac Desmarais
Code nautique pour la préservation du lac Desmarais
Voici un extrait du Code nautique pour la préservation du lac Desmarais, soit les principaux règlements.
Pour consulter le Code nautique en ligne : Code nautique pour la préservation du lac Desmarais, version intégrale.
Lors de l’assemblée générale annuelle de l’Association pour la préservation du lac Desmarais, tenue le 29 avril 2017, les membres ont entériné les règlements suivants :
- Les conducteurs d’embarcations motorisées doivent toujours accorder priorité de passage aux nageurs, aux baigneurs et aux embarcations non-motorisées.
- La longueur maximale des embarcations de plaisance sur le lac Desmarais ne doit pas dépasser 16 pieds. L’accès au lac pour de telles embarcations doit être permis par les actes notariés du propriétaire de l’embarcation.
- La puissance maximale des moteurs à propulsion électrique ne doit pas dépasser 80 livres de poussée ou 2 HP selon le type de moteur.
- Les résidents qui, au 29 avril 2017, possèdent une embarcation ou un moteur excédant les règles précédentes, conservent un droit acquis et pourront continuer de les utiliser. Ils doivent toutefois respecter l’esprit de ce code nautique.
- Toute embarcation motorisée ou non, doit être lavée adéquatement avant d’être mise à l’eau au lac Desmarais si elle a fait un quelconque séjour sur un autre plan d’eau.
- Afin de préserver la qualité de l’eau du lac Desmarais et la sécurité des usagers du lac, contacter l’APLD avant l’achat ou la mise à l’eau d’un nouveau type d’embarcation (nouveau, dans le sens de « jamais vu, inusité, non connu, nouveauté »). L’APLD fera des recherches concernant les inconvénients potentiels de ce type d’embarcation et pourra recommander son usage ou non.
- Les membres de l’APLD et les non-membres s’engagent à respecter ces règlements.
Bonnes pratiques pour préserver la santé et la quiétude du lac
Niveau sonore
Sur un lac entouré de montagnes, il faut toujours se rappeler que les sons se répercutent loin et peuvent nuire à la quiétude des autres résidents. Chacun des résidents du lac a le droit de se détendre et de s’amuser sur une embarcation de plaisance, dans le lac, sur sa propriété, mais nous avons tous aussi l’obligation de le faire dans le respect de la quiétude des gens qui nous entourent.
Bande riveraine
Une bande riveraine, c’est une bande de végétation naturelle et permanente qui borde un plan d’eau. Elle constitue une zone de transition entre les milieux aquatique et terrestre. Afin de jouer efficacement ses nombreux rôles, elle est idéalement constituée d’un mélange de plantes herbacées, d’arbres et d’arbustes.
Consultez le document Bande riveraine pour connaitre les bienfaits d’une bande riveraine et les bonnes pratiques à adopter.
La page Pratiques riveraines du RAPPEL est aussi très riche en informations au sujet des rives.
Installations septiques
Une installation septique est un dispositif d’évacuation et de traitement des eaux usées autonome, c’est-à-dire qu’il traite et évacue les eaux usées d’une résidence isolée qui n’est pas raccordée à un réseau d’égout. L’installation septique fait intervenir les processus naturels pour traiter les eaux usées. Elle les traite sur votre terrain et les évacue généralement dans les eaux souterraines.
Consultez le document Installations septiques pour plus d’informations et de judicieux conseils.
Informations complémentaires pour préserver la santé du lac
L’eau de pluie
Saviez-vous que l’urbanisation a des impacts significatifs sur la qualité de nos cours d’eau et plans d’eau?
Dans la nature, l’eau de pluie s’infiltre dans le sol au travers des végétaux et ainsi, elle se purifie avant de retourner aux cours d’eau ou de recharger de la nappe phréatique. Toutefois, en milieu urbanisé où l’asphalte et le béton prédominent, l’eau de pluie pénètre plus difficilement le sol et ruisselle plutôt sur ces surfaces imperméables. Ce faisant, elle transporte sur son passage des polluants laissés par les voitures, la construction, les engrais et les animaux. Le développement urbain, qui inclut la construction de maisons, d’édifices et de stationnements, multiplie ces surfaces imperméables qui accentuent le ruissellement. En cas de pluie, les cours d’eau reçoivent inévitablement ces eaux chargées de polluants.
Comment minimiser les impacts de ce ruissellement?
Le guide publié par le COGESAF, Mon eau de pluie j’en fais quoi ? Guide gestion des eaux de pluie, propose des solutions ingénieuses pour contrer le ruissellement et gérer de façon durable l’eau de pluie qui tombe sur votre propriété.
Toit vert, tranchées d’infiltration, jardin de pluie, baril de pluie, massif de végétaux, revêtement de sol, plantation d’arbre sont quelques-unes des solutions proposées qui permettront à votre terrain d’agir comme filtre naturel et en bout ligne, de contribuer à la protection des cours d’eau.
Pour plus d’informations, consultez le guide COGESAF, Mon eau de pluie j’en fais quoi ? Guide gestion des eaux de pluie.
(Source : COGESAF, Mon eau de pluie j’en fais quoi ? Guide gestion des eaux de pluie, 28 pages)
Le phosphore et le phosphate
Le phosphore, ce que c’est…
Le phosphore est un minéral essentiel à la croissance et au développement de tous les organismes vivants (humains, animaux, végétaux, algues et bactéries) puisque le phosphore entre dans la composition de l’ADN, des os et de plusieurs autres biomolécules.
Seule une partie du phosphore est naturellement disponible pour les organismes vivants. Par contre, les humains ont perturbé le cycle naturel du phosphore, notamment en exploitant des mines pour fabriquer des fertilisants. Une grande quantité de phosphore est maintenant en circulation et disponible pour les organismes.
Phosphore vs Phosphate
- Phosphore : Élément chimique de base que les organismes ne peuvent utiliser pour se nourrir.
- Phosphate : Forme du phosphore lié avec des molécules d’oxygène. C’est cette forme qui nourrit les organismes, dont les algues bleu-vert.
Les apports de phosphore
- Apport naturel : dégradation des roches à long terme.
- Apports domestiques :
- Déboisement (enlever les arbres des rives)
- Ruissellement (sur les pelouses mal fertilisées, les sols imperméables ou nus …)
- Engrais (comprend aussi le compost, le fumier et les produits bio, verts ou écologiques)
- Eaux usées (déjections) (installations septiques désuètes, colmatées, non conformes, mais aussi conformes).
Des apports que vous pouvez contrôler
La nature à elle seule ne peut suralimenter en phosphore un lac comme c’est le cas depuis quelques années dans plusieurs plans d’eau du Québec. L’activité humaine est responsable de ces multiples apports qui nourrissent la végétation aquatique. Bien que vous ne puissiez contrôler les apports des autres, vous pouvez néanmoins limiter vos sources domestiques personnelles et faire en sorte que votre terrain et votre résidence rejettent le moins de phosphore possible dans la nature.
Nous sommes tous responsables de l’apparition des fleurs d’eau d’algues bleu-vert. Nous avons ainsi un rôle à jouer dans le contrôle des apports en phosphore vers les milieux aquatiques.
Comment réduire les apports en phosphore dans le milieu naturel?
Pour diminuer vos apports domestiques de phosphore vers les milieux aquatiques, vous devez réduire les risques d’érosion et de ruissellement sur votre terrain, ainsi que le taux de phosphore des eaux usées évacuées de votre propriété.
- Contrôlez le ruissellement sur votre terrain : privilégiez les surfaces perméables et les allées sinueuses, récupérez l’eau de pluie de vos gouttières, aménagez des plates-bandes et des jardins de pluie, laissez pousser la végétation sur les bords de votre fossé, etc.
- Aménagez et conservez une bande riveraine de plusieurs mètres : arbres et arbustes retiennent les minéraux et réduisent l’érosion et le ruissellement, en plus d’être esthétiques.
- Aménagez votre terrain de façon naturelle : plantez des arbres et des végétaux qui réduiront le ruissellement et l’érosion. Attention aux espèces envahissantes! (Campagne de végétalisation)
- Ne fertilisez pas la bande riveraine et évitez de fertiliser les zones près de celle-ci.
- Veillez à la conformité et au bon entretien de votre installation septique : le phosphore de vos eaux usées risque moins d’atteindre les cours d’eau.
- Privilégiez les produits ménagers sans phosphates et biodégradables.
Alternatives aux produits nettoyants
Les produits de nettoyage commerciaux ne contiennent pas que des phosphates mais aussi plusieurs produits chimiques tout aussi néfastes pour l’environnement et notre lac.
Heureusement, il existe plusieurs façons de réduire notre utilisation de ces produits à la maison. En voici quelques exemples :
- Le vinaigre (5 % d’acide acétique) : désinfectant doux, qui sert à enlever la graisse, à nettoyer le verre, à désodoriser et à enlever les dépôts de calcium, les tâches ainsi que la cire accumulée.
- L’amidon : poudre inodore, qui nettoie bien les tapis souillés et les taches de graisse.
- Les cristaux de soude (carbonate de soude) : ingrédient clé pour la lessive, les cristaux de soude enlèvent la graisse et les tâches. Ils constituent un agent désinfectant et servent à adoucir l’eau. Ne pas utiliser sur l’aluminium.
- Le bicarbonate de soude : remplace les récurrents. En outre, il sert à désodoriser, à enlever les taches, à polir et à assouplir les tissus.
- L’huile d’olive : pour polir le bois.
(Source : OBV Organismes de bassins versants du Québec, Fiches sur l’AMÉNAGEMENT et l’ENTRETIEN des PROPRIÉTÉS RÉSIDENTIELLES, 36 pages)
Les cyanobactéries
Les fleurs d’eau de cyanobactéries ont plusieurs impacts négatifs. Elles perturbent l’équilibre écologique des milieux aquatiques et détériorent leur apparence. De plus, elles peuvent affecter les activités récréotouristiques et socioéconomiques. Enfin, ces fleurs d’eau présentent un risque pour la santé publique en raison de leur potentiel irritant, allergène ou toxique. La vigilance est de mise.
Consultez le document Les cyanobactéries pour plus d’informations
Pourquoi ne pas nourrir les canards et autres oiseaux aquatiques
Les oiseaux sont très présents dans notre environnement et par conséquent l’APLD de concert avec la municipalité interdit de nourrir les oiseaux. Plusieurs documents expliquent les raisons qui motivent ce règlement.
Le fait d’alimenter les canards entraîne une dépendance qui a plusieurs conséquences négatives pour les canards, l’environnement et les humains. Les canards, les canes et les canetons se nourrissent d’invertébrés et de plantes aquatiques présents dans l’eau.
Les humains les nourrissent de pain ou de maïs, parfois de frites ou autres. Cette nourriture ne leur fournit pas l’ensemble des éléments nutritifs nécessaires à leur survie. Les canards habitués de s’alimenter auprès des humains, choisissent de demeurer avec nous l’hiver au lieu de migrer vers le sud. En conséquence, les canards se retrouvent devant une insuffisance de nourriture, de la difficulté à combattre le froid et à migrer. Une désorientation et une mortalité s’ensuit.
Un autre inconvénient à nourrir les canards en été : les sites se retrouvent couverts d’excréments et deviennent peu hygiéniques. Il y a là risque de dermatite du baigneur. Des bactéries et virus dangereux sont présents dans les coliformes fécaux, en plus de réchauffer l’eau du lac et de contribuer à la pollution. Ce sont les coliformes fécaux qui servent à évaluer la qualité de l’eau pour la baignade.
Il vaut mieux laisser les canards libres et sauvages et s’abstenir de les nourrir. Admirez-les et respectez-les.
L’Association pour la protection du lac Desmarais demande à tous les résidents et visiteurs de ne pas nourrir les canards dans le but d’avoir un lac en santé.
Lutte contre l’érosion
Lutte contre l’érosion lors de travaux de d’aménagement de terrain
L’érosion est un mécanisme où les particules de sol sont détachées et déplacées de leur point d’origine. Au Québec, le principal élément déclencheur de l’érosion est l’eau. Privés de leur couche protectrice naturelle qu’est la végétation, les sols deviennent vulnérables à l’érosion.
Quand les gouttes de pluie arrivent sur le sol nu, elles agissent comme de véritables petites bombes et font éclater les particules de sol. En retombant, les particules de sols bouchent les fissures du sol, le rendant ainsi imperméable. L’eau, qui ne peut plus être absorbée, ruisselle à la surface et entraîne avec elle des particules de sol nommées les sédiments.
Les sédiments sont un mélange de particules de sol de différentes grosseurs. Quand ils sont transportés par l’eau, les sédiments sont déplacés plus ou moins loin de leur site d’origine selon leur taille. Les plus grossiers, tels les graviers et les sables, s’arrêtent généralement près de leur lieu d’origine, car l’eau n’a plus assez d’énergie pour les déplacer. Les sédiments fins, comme les argiles, les matières organiques et les limons, restent longtemps en suspension dans l’eau. Ils voyagent plus loin vers les fossés ou en direction du plan d’eau avant de se déposer dans le plan d’eau. Les particules fines donnent à l’eau une apparence trouble et sale.
Principes de la lutte à l’érosion
- Dévégétaliser le moins possible
-
- Une bande de 25 pieds (8m) autour de la construction suffit aux manœuvres de la machinerie.
- Ouvrir un chantier par étape est un moyen efficace de limiter l’étendue des surfaces à nu.
- Couvrir rapidement les sols à nu
- Avant l’aménagement paysager final, étendre du paillis (foin) sur tout le sol à nu suffit généralement à réduire l’impact de la pluie.
- Revégétaliser le plus rapidement possible
- Des barrières de membrane géotextiles et/ou des bottes de foin doivent être obligatoirement être installées aux endroits situés entre les travaux exécutés et les fossés et le lac afin de ralentir l’écoulement des sédiments vers le lac.
Imperméabilisation des sols
La santé des lacs et des rivières est menacée par l’urbanisation.
Le développement urbain affecte l’environnement en provoquant l’érosion des sols sur les chantiers et, à plus long terme, l’imperméabilisation des sols. De l’entrepreneur au citoyen, tous peuvent agir pour atténuer ces impacts en adoptant des pratiques simples et peu onéreuses.
Quatre-vingt pourcent des citoyens du secteur du Lac Desmarais (80%) puisent leur eau potable du lac, ils sont donc tous concernés par la problématique du plan d’eau. Le bassin versant est victime du développement résidentiel qui imperméabilise les sols et occasionne beaucoup d’érosion, et ce, surtout dans les développements en montagne. C’est pourquoi la collaboration de tous les citoyens est indispensable si nous voulons atténuer les impacts négatifs de l’expansion urbaine.
Un bassin versant est un territoire dont les eaux qui s’écoulent se rejoignent en un même endroit pour former un cours d’eau, un lac, une rivière ou un fleuve.
Dans le secteur du Lac Desmarais, la pente du terrain, qui est fonction de la topographie du bassin versant, influence la rapidité à laquelle l’eau s’écoule vers les ruisseaux et le lac. Cette accélération des eaux de ruissellement aura pour effet d’arracher des particules de sol et de les entraîner sur une longue distance, voire jusqu’au lac.
La fréquence et l’intensité des précipitations ont un effet sur le débit d’eau, sur l’augmentation de l’érosion des rives et sur les sols mis à nu. En plus d’augmenter l’érosion, les débits d’eau importants favorisent le transport des sédiments vers le lac et l’envasement du littoral.
En considérant les pentes modérées à très fortes, on constate que près de 70% de la superficie du bassin versant du Lac Desmarais, excluant les lacs et le réseau hydrographique, peut être considérée à risque pour l’érosion des sols.
Autres informations disponibles dans le site internet de l’APLD
- Consultez les sujets proposés dans l’onglet Environnement
- Notamment, Carnet de santé du lac présentant onze fiches théoriques qui expliquent les concepts de base de la limnologie et les indicateurs liés à la santé des lacs. Elles abordent et vulgarisent des sujets comme les cyanobactéries, le phosphore et l’azote, l’oxygène dissous, etc. Ces fiches ont été validées par le Groupe de recherche interuniversitaire en limnologie et environnement aquatique (GRIL).
Dernière mise à jour du Guide des bonnes pratiques pour la préservation du lac Desmarais : juin 2017 (Jeannette Leblanc, Danièle Philippon)